Pour les producteurs, il existe deux options pour introduire les auxiliaires fournis en vrac : soit directement sur la feuille, soit avec nos Bio-Boxes Biobest, qui offrent une solution efficace ainsi que d’autres avantages.
Que sont les Bio-Boxes ?
Petite boîte de carton avec un crochet, la Bio-Box s'accroche facilement dans toutes les cultures, près des foyers de ravageurs. Les auxiliaires sont simplement répartis dans les boites, en une fine couche, d'environ 1 à 2 cm d’épaisseur.
« La Bio-Box est particulièrement utile pour les cultures aux feuilles étroites ou tombantes. Dans ces conditions, il est difficile pour les auxiliaires de rester in situ après leur introduction, et risquent même de tomber au sol », explique Paco Lazano, Knowledge Manager chez Biobest Academy. « Pour les cultures telles que les plantes ornementales fleuries et les herbes où les résidus sont inesthétiques, ou pour les cultures médicinales où les feuilles, les bourgeons et les fleurs doivent être exempts de résidus. »
Idéales pour les stades de développement immobiles
« Les Bio-Boxes sont surtout pratiques pour introduire des stades de développement immobiles, tels que les pupes de syrphes, par exemple Eupeodes-System ou Sphaerophoria-System, ainsi que les momies d’Aphidius-System ou d’Ervi-System, et les pupes d’Encarsia-System ou d’Eretmocerus-System. Elles sont également idéales pour le stade larvaire des hémiptères prédateurs, comme Macrolophus-System et Orius-System. »
Les avantages de la Bio-Box
« Les Bio-Boxes empêchent les auxiliaires immobiles de tomber au sol et gardent les cultures propres de tout matériel de support. De plus, avoir les Bio-Boxes équidistantes dans la culture peut aider à améliorer la répartition globale des auxiliaires sur les rangées de culture et, finalement, dans la serre », dit Paco. « Avec des points d'introduction fixes tout au long de la culture, les producteurs peuvent répartir plus facilement des doses égales. »
« Accrochées dans la couverture végétale, ces boîtes jouent aussi un rôle précieux dans la réduction de l’exposition environnementale des auxiliaires. Tous les facteurs se conjuguent pour aider les producteurs à optimiser leurs stratégies de lutte. »